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ecotourisme-magazine - Page 2

  • Barcelone  - Cité sensuelle et chaleureuse

    Barcelone est la plus européenne des villes espagnoles. Climat ensoleillé, gastronomie raffinée, vie nocturne trépidante, c’est une cité sensuelle et chaleureuse. Mais la capitale catalane revendique haut et fort son identité originale, toujours à l’avant garde culturelle du vieux continent.

    Picasso, Tapies, Miro y ont puisé l’inspiration parmi les palais médiévaux du barri gotic et de la ribera. Les fantaisies architecturales des bâtiments modernistes offrent un cadre prestigieux aux enseignes les plus réputées. Le tout à quelques encâblures des plages de la méditerranée...

    Pratique

    • Vol sec à partir de : 70 euros A/R
    • Formalités : pour les ressortissants européens, carte d’identité ou passeport en cours de validité
    • Santé : aucun vaccin obligatoire
    • Langues : le catalan, mais l’espagnol marche aussi
    • Temps de vol de Paris : durée de vol : entre 1 h 30 et 1 h 45  suivant l’aéroport d’arrivée
    • Décalage horaire : pas de décalage horaire

     

    Superficie : 100,39 km2
    Population : 1 605 602 hab

    Les plus

    • Une ville d’art aux nombreux musées
    • l'hôtel W à Barcelone
    • Un patrimoine architectural omniprésent
    • Les plages de la Méditerranée 

    Les moins

    • La pression touristique
    • Les fortes chaleurs durant l’été

     

    gaudi.JPGA voir / A faire :

    Une ville vivante et animée
    Barcelone est une ville méditerranéenne. On y vit dehors, à la terrasse d’un café ou d’une place ombragée.

    Une architecture riche et étonnante
    Sur les façades s’affiche l’histoire de la cité : palais gothiques de la Carrer Montcada, demeures modernistes de l’eixample, musées contemporains du Raval.

    Des ballades très agréables
    Il suffit d’arpenter les ruelles étroites et les larges avenues pour sentir battre le poul de cette ville affairée d’artisans et d’entrepreneurs, de marins et de navigateurs.

    Des plages et des jardins
    Plages et jardins servent de contrepoids à cette agitation et battent un tempo plus modéré : les plages de Barcelone sont à tester. Les pentes de Montjüic ou de Tibidabo offrent une échappatoire aérienne au rythme de la ville.

    Des musées passionnants
    Quant aux musées, ils célèbrent l’identité catalane et ouvrent Barcelone sur le monde.

     

    Plaça de Catalunya

    Barcelone

    Avec une superficie de 5 hectares, la Plaça de Catalunya est la plus grande place de Barcelone. Située en plein centre, elle représente le trait d'union entre la vieille ville et l'Eixample et un incontournable nœud de transport.

     

  • A voir, à faire en Bulgarie

    Sofia
    La capitale, l’une des plus vieilles d’Europe, dispose d’un certain nombre d’atouts. Certes, le contraste entre le centre-ville et les faubourgs staliniens frappe les esprits. On retiendra surtout le charme des carrioles à cheval, des marchés, des terrasses et vastes places pavées de brique jaune.

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    Massif du Rila
    Les randonneurs adorent. Pour découvrir le célèbre monastère de Rila, une option possible est d’emprunter des chemins de montagnes escarpés. Après 3 jours de marche, on découvre le monastère qui était, pendant la longue période d’occupation ottomane, le fief de la résistance et le garant de la culture bulgare.

    Veliko Târnovo
    Ancienne capitale, Veliko Târnovo est une ville pleine de symboles. Riche de vestiges historiques, la ville a connu un glorieux passé. Ses maisons pittoresques accrochées aux parois rocheuses et la rivière qui serpente en son sein lui donne un cachet tout particulier.

    Nesebâr
    Il s’agit d’une petite ville située sur une péninsule, en bord de la mer noire. Autrefois carrefour commercial essentiel pour Byzance, la cité est peu à peu tombé dans l’oubli. Les 10aines d’églises que comptait la ville sont alors tombées en ruine. Les vestiges et l’atmosphère agréables qui y règne en été justifient amplement une visite.

    Les montagnes des Rhodopes
    Région idéale pour les voyageurs en quête d’authenticité, le paysage des montagnes des Rhodopes offre un cadre naturel extraordinaire. Au programme : des gorges, des forêts de pins, des villages isolés et des monastères.

  • Bulgarie  - Un avenir touristique prometteur !

    Il faut franchir seulement 2 000 km pour découvrir un pays méconnu, nouvellement intégré à l’Union Européenne. La Bulgarie dispose pourtant d’un beau potentiel touristique : des montagnes, des forêts, des lacs mais aussi des monastères, des villages typiques, des stations de ski et des plages !

    Les amateurs de destinations originales l’ont bien compris, ils se dépêchent de voyager en Bulgarie avant que la destination ne devienne à la mode. Le point d’entrée dans le pays, Sofia, est l’une des plus vieilles capitales d’Europe. Elle possède de riches attraits culturels. Mais pour apprécier l’authenticité de la destination, il faut se rendre au cœur du pays, dans les montagnes. Dans un cadre naturel de toute beauté, vous apprécierez les magnifiques monastères byzantins et les petits villages aux traditions ancestrales.

    Pratique

    • Vol sec à partir de : A partir de 250 euros
    • Formalités : Carte nationale d'identité
    • Temps de vol de Paris : environ 2h45 Paris-Sofia
    • Décalage horaire : GMT +2 h en hiver GMT +3 h l'été
    • Langue : Langue officielle, le bulgare.
    • Monnaie : Le Lev

    Superficie : 110 910 km2
    Population : 8 000 000 Hab.

    Les plus

    • Une palette touristique complète
    • Une histoire riche, carrefour des civilisations
    • Une ouverture récente au tourisme
    • L'originalité de la destination

    Les moins

    • Des infrastructures pas toujours à la hauteur
    • La fréquentation de la côte de la mer noire en été
  • MADAGASCAR - À ne pas manquer 2

    Les Hauts Plateaux

    Au sud de Tana, les hauts plateaux forment une entité géographique différente des autres régions de l'île.

    D’Antsirabe à Fianarantsoa, et au-delà, les hautes terres, qui dépassent rarement 1300 m d’altitude, forment un paysage de collines et de plaines accueillant de superbes rizières. Deux ethnies y vivent : les Mérinas, principalement autour d’Antananarivo et les Betsiléos, dans une large zone autour de Fianarantsoa. 

     

    Fianarantsoa

    Bienvenue à Fianarantsoa. A "Fianar", comme on dit. Nous sommes ici à la porte du grand Sud. Dernière étape avant de plonger dans un univers minéral bien différent. Fianarantsoa est réputée pour ses universités, le Lazan'y Betsiléo (le Château Margaux local), ses églises ou le lac Anosy n°2 (le n° 1 étant celui de Tana). Fianarantsoa mérite une petite halte, notamment pour parcourir les petites ruelles de la vieille ville, riches d'une belle architecture (les protestants norvégiens ont apporté leur contribution).

    A Fianar, le voyageur pourra prendre "le train pas comme les autres" qui permet de vivre une expérience unique. Il pourra également découvrir le travail photographique de Pierrot Men. Célèbre photographe, métis d'un père chinois et d'une mère franco-malgache, il vit et travaille à Fianarantsoa, deuxième ville du pays. A l'image de Doisneau, son "maître", il présente un univers qui sent le "bon vieux temps"...

     

    Ranomafana

    Ranomafana (littéralement eaux chaudes) permet aux voyageurs de découvrir un univers singulier. Les sources chaudes provenant des entrailles de la Terre contrastent avec le fort taux d'humidité, la pluie fine et la gigantesque forêt primaire abritant quelques espèces de lémuriens et une végétation endémique. Ranomafana est une véritable expérience 100% nature. Il est fortement conseillé d'être équipé d'un sac à dos, d'une tente et d'un imperméable. Le voyageur vivra cette escapade sur quelques jours, accompagné d'un guide malgache maitrisant la forêt et ses dangers. Le bon guide (attention au choix !) doit connaître les moindres recoins de la forêt et vous aidera à découvrir les espèces végétales (par exemple le Ravinala) et animales diurnes et nocturnes (les lémuriens). Il imposera également des pauses à mi-chemin d'une pente boueuse et glissante, qui permettront d'apprécier l'odeur et les bruissements de la forêt. Il peut profiter de ces moments pour raconter des légendes et apprécier de partager son univers, de faire parler sa forêt, de montrer aux voyageurs à quel point elle existe, à quel point elle est g&eacu;

     

     

  • MADAGASCAR - À ne pas manquer

    Les amoureux des grands espaces seront comblés. Du Nord au Sud, d'Est en Ouest, les paysages sont changeants et souvent étonnants. Peu de vieilles pierres à Madagascar, mais une culture bien vivante et des traditions vivaces.

    Madagascar possède deux trésors : sa faune et sa flore uniques au monde. Cet environnement incroyable est pourtant menacé par la déforestation. C’est pourquoi le gouvernement a protégé certaines zones en leur attribuant des statuts : Parc National, Réserves Naturelles intégrales ou Réserves spéciales. Certains parcs sont plus accessibles que d’autres, ce qui est le cas des exemples présentés ci-dessous. Plus d’informations sur le site officiel des Parcs Nationaux et Réserves Naturelles de Madagascar.

    Madagascar est entouré de plages, très différentes en fonction des régions. Une constante néanmoins : elles sont pour la plupart désertes et conservent encore leur naturalité. Aux quatre coins de l’île, il est possible de profiter de cadres naturels d’une beauté parfois saisissante.

     

     

    Les régions

    Madagascar s'avance dans l'océan Indien face à l'Afrique, dont elle est séparée par le Mozambique.

    Le tropique du capricorne traverse l'île à hauteur de Tuléar (Sud). Madagascar appartient donc aux tropiques. Quatrième île du monde par sa superficie, Madagascar mesure 1 580 km du nord-est au sud-ouest et 570 km pour sa partie la plus large. L'île est légèrement plus grande que la France.

     

    Antananarivo

    La capitale de Madagascar, Antananarivo, « Tana » pour les intimes, recèle plusieurs trésors. Elle ne représente pas seulement une étape, mais il est agréable de parcourir cette ville aux mille facettes où la beauté côtoie malheureusement la misère. Elle s’étale à flanc de douze collines et dégage plus une atmosphère de ville de montagne que celle d’une ville des tropiques. Située au coeur du pays, la ville a également été au centre de l’histoire malgache. Les vieilles pierres, rares à Madagascar, y sont présentes et lui confère un charme rétro tout à fait délicieux.

    La région de Tana mérite également qu’on s’y attarde pour découvrir un relief verdoyant, de belles rizières, des parcours de randonnées qui conduiront le voyageur à des lacs et forêts, à des lieux de légendes, à la découverte d’une vie rurale passionnante aux riches caractéristiques métissées. Impressions d’Asie, d’Afrique et d’Europe, ce paysage unique est mis en valeur par une lumière très particulière.

  • À propos des toits-terrasses dans le Sud de France

    La pente d'un toit est déterminée par l'angle de descente entre le sommet et l'avant-toit. L'élément le plus important de la pente d'un toit est son inclinaison. Plus l'angle est élevé, plus il sera protégé. Une pente est mesurée par la course et la montée. Par exemple, une pente de 4/12 signifie que le toit s'élève de quatre pouces pour chaque douze pouces de course.

    Avantages des  toits-terrasses 

    Les avantages concernant la ligne de toit sont mieux réalisés par la pente du toit et les singles qui sont utilisés, selon un artisan rénovation de toiture à Perpignan. La pente de la pièce joue un rôle déterminant dans les avantages qu'elle procure. Ces avantages comprennent l'écoulement de l'eau et la dissuasion des précipitations gelées telles que la neige et la glace. Si le toit est à forte pente, la neige et la glace glisseront le long des singles en fondant au lieu de pénétrer dans le toit sous les singles.

    Caractéristiques des  toits-terrasses 

    L'une des caractéristiques qui ressortent d'un toit à forte pente est la possibilité de créer des lucarnes. Les lucarnes peuvent ajouter à l'aspect général du toit et sont généralement assez grandes pour y installer des fenêtres. En été, ces fenêtres peuvent être ouvertes pour permettre à la chaleur de s'échapper du grenier. Elles constituent également un endroit idéal pour observer le ciel nocturne avec un télescope.

    Effets

    L'effet d'une ligne de toit se remarque davantage par les bardeaux qui y sont posés. Il est plus facile de remarquer les effets créés par un toit à forte pente que par un toit à faible pente. Ceci est vrai simplement parce qu'il y a plus de surface à travailler. Par conséquent, l'effet que les bardeaux laisseront est différent sur une ligne de toit à pente élevée que sur un toit à pente plus faible. La pente habituelle d'un toit à forte pente pour donner cet effet est de 4/12.

    Fonction

    La fonction d'une ligne de toit à forte pente est mieux comprise par les coûts de chauffage et de refroidissement de la maison. Plus la pente est élevée, plus vous disposez d'espace dans le grenier. Par conséquent, l'isolation au-dessus du plafond dans une maison avec un toit à forte pente est plus facile à installer et sera généralement plus importante que celle d'un toit à faible pente. Il est également plus facile de poser du contreplaqué sur les solives du plafond pour se déplacer dans le grenier.

    Considérations sur les toitures du Sud de France

    Les considérations à prendre en compte lors de la construction d'une maison doivent inclure la pente du toit, notamment la façon dont l'espace sera utilisé. Une autre considération a trait à la situation géographique. Si la région est sujette à des vents violents, la pente de toit 4/12 est un bon choix. Ainsi, il est plus difficile pour le vent de passer sous les célibataires et de les faire tomber.

     

  • Spécial Sainte Lucie : La baie de Soufrière - un milieu sous haute surveillance

    La mise en place de l’aire protégée de Sainte-Lucie

    Confrontés à des tensions entre pêcheurs et touristes, les autorités de Sainte-Lucie ont mis en place, dans les années 90, une aire marine protégée : la Soufriere Marine Management Association. Aujourd'hui, grâce aux efforts de la SMMA, les tensions se sont calmées et l'écosystème marin a retrouvé ses couleurs.

     

    Si la SMMA n’avait pas été créée, la biodiversité de la baie de Soufrière serait aujourd’hui détruite, selon Kai Wulf. En cela, cette expérience est un bon exemple de gestion durable et globale d’un territoire.

    Pourtant, depuis quelques années, la baie de Soufrière est de nouveau en danger. Les conflits sur l’aire marine ne sont plus en cause.

    Aujourd’hui, la menace vient de la terre. Les promoteurs immobiliers, bien conscients de l’attrait qu’offre Soufrière, construisent des hôtels sur le littoral sans qu’aucun réseau d’égout ou de collecte des eaux usées n’existe.



    Mis à nu, les terrains, lessivés par les cyclones et les pluies tropicales, rejettent des tonnes de sédiments sur les fonds coralliens, au risque de les asphyxier. « Nous pouvons faire tous les efforts du monde pour que le milieu marin soit protégé, explique Kai. Si nous ne contrôlons pas ce qui vient de la terre, tous ces efforts seront anéantis. » C’est le syndrome du serpent qui se mord la queue : l’aire marine, protégée pour assurer la venue des touristes, attire désormais des constructions immobilières synonymes de danger écologique. Au cours des prochaines années, le gouvernement de Sainte-Lucie aura la responsabilité de limiter la sédimentation et de réglementer les constructions immobilières sur le littoral.

     

     

  • Spécial Sainte Lucie : La baie de Soufrière

    Le serpent qui se mord la queue

    Ce matin, le deuxième plus grand yacht du monde a fait son entrée dans la petite baie de Soufrière. Plus de 100 mètres de long, coque blanche immaculée, une armée de bras qui s’activent sur le pont, hélicoptère sur le pont avant, le contraste avec les petits gommiers est saisissant.

    Au nord et au sud de la baie, une vingtaine de bateaux de plaisance sont au mouillage face à la haie de palmiers et la forêt tropicale. Pour les habitants de la petite communauté, l’arrivée des touristes est vue de manière assez équivoque selon les interlocuteurs. Pour les clubs de plongée, les petits restaurants, les tour-operators locaux, ils représentent une manne économique non négligeable. Mais pour les pêcheurs, la cohabitation n’a pas toujours été facile.

    Dans les années 80, Soufrière devient une destination touristique à la mode, tant par l’attrait de son cadre exceptionnel que la richesse de ses fonds marins. Les plaisanciers et les plongeurs sont chaque année plus nombreux à venir jeter l’ancre sur un domaine maritime restreint.

    Résultat, des conflits éclatent entre les utilisateurs du milieu marin. Les pêcheurs se plaignent de ne plus pouvoir pêcher aux endroits et aux heures qu’ils souhaitent, les touristes ne comprennent pas pourquoi ils devraient limiter leurs activités.



    La situation dégénère tellement qu’en 1994, une solution doit être trouvée : l’aire marine protégée de Soufrière, la SMMA –Soufriere Marine Management Area- est créée, avec le soutien du Fonds Français pour l’Environnement Mondial. En quelques années, des zones d’activités prioritaires sont définies afin que chaque utilisateur puisse profiter au mieux du milieu marin.

    Ici des zones prioritaires de pêche, là des zones prioritaires de plongée, là-bas une zone de mouillage. L’aire marine est méthodiquement divisée et administrée.

    Pour le manager de la SMMA, la situation est aujourd’hui apaisée même si quelques tensions subsistent. « Le plus important a été de préserver les ressources marines, explique Kai. Sans elles, la baie de Soufrière n’offrirait plus aucun intérêt, à personne. » Les fonds marins ont en effet été particulièrement endommagé par la sur-utilisation du territoire. L’ancre des bateaux, les filets des pêcheurs et des plongeurs inconscients détruisaient petit à petit la couverture corallienne, habitat de milliers d’espèces sous-marines. « Si la SMMA n’avait pas été créée, la biodiversité de la baie de Soufrière serait aujourd’hui détruite, poursuit Kai. En cela, cette expérience est un bon exemple de gestion durable et globale d’un territoire. En résolvant des conflits humains qui se déroulent en surface, on règle le problème de la protection de la biodiversité. C’est elle qui attire les hommes. Sans biodiversité, plus de poisson pour les pêcheurs, plus d’attrait pour les plongeurs ! »