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ecotourisme-magazine - Page 4

  • Tourisme : Comment réduire l’impact environnemental de vos vacances au ski ?

    C’est le top départ des vacances d’hiver, nos conseils pour dévaler les pentes avec la conscience verte tranquille.

    ski.JPGAvec près de 8,5 millions de journées skieurs et 12,6 millions de nuitées lors de l’hiver précédent, les stations des Alpes du Sud s’apprêtent cette année encore à faire face à une déferlante de touristes. Avec ses inconvénients : embouteillages monstres, gestion des miliers de tonnes de déchets supplémentaires, des consommations électriques, de l’approvisionnement en eau ou encore de l’assainissement.

    Longtemps à la traîne en matière de tri sélectif ou de traitement des eaux usées notamment, les stations prennent peu à peu le virage vert. Aux Orres, la fréquence des collectes de déchets et d’emballages ménagers est par exemple multipliée par quatre pendant les vacances scolaires.

     

    Les transports, bêtes noires des stations de ski

    Toujours pour réduire leur impact environnemental, des bilans carbone ont été réalisés dans dix stations de ski françaises, dont celles des Orres et de Valberg dans les Alpes du Sud. Conclusion: les activités directement liées à la pratique du ski ne représentent que 2% des émissions de gaz à effet de serre (GES) des stations. Un chiffre qui inclut le fonctionnement des remontées mécaniques, la production de neige et l’entretien des pistes.

    « En fait, 60% des émissions de GES d’une station sont liées au transport des skieurs, alors la première question à se poser avant de partir c’est « est-ce que j’ai vraiment besoin de ma voiture », insiste   l’association Mountain Riders pour les Alpes du sud. D’ailleurs, le covoiturage ou les transports en commun, comme les « Navettes blanches » qui relient en bus la gare d’Aix-en-Provence TGV et l’aéroport de Marseille aux stations de la région, ou les navettes inter-stations sont de mieux en mieux organisés. « Ces dispositifs fonctionnent bien parce que les touristes sont contents de ne pas avoir à conduire sur des routes enneigées« , constate t-ils.

    Des gestes simples

    De manière générale, il y a une véritable prise de conscience chez les skieurs, mais c’est le passage à l’acte qui reste encore difficile, estime Eric Daugu. Il faut donc miser plus que jamais sur la sensibilisation« . Car polluer moins, cela passe aussi par des gestes simples, à la portée de tous, comme faire l’effort de trier ses déchets, même si l’on est en vacances.

    « Pensez également au matériel : la location est plus écologique et économique si vous n’avez pas une pratique régulière, ajouter Eric Daugu. Et si vous préférez acheter, de plus en plus de marques développent des produits plus respectueux de l’environnement. » Une manière d’être écolo jusqu’au bout des skis.

     

     

     

     

     

  • Les Maldives : une cuisine aux multiples influences et origines

    Le mélange de saveurs des Maldives est hérité des nombreuses cultures qui ont tour à tour influencé l’archipel, combiné à l’insularité du pays. Le caractère épicé de la cuisine est notamment influencé par la culture gastronomique du sous-continent indien ainsi que du Sri Lanka. En profitant d’un séjour aux Maldives pas cher, essayez autant que possible de passer par Malé, la capitale, où l’on peut trouver les tea-shops, des lieux qui proposent uniquement des plats maldiviens.

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    En dehors des poissons et des fruits de mer ainsi que des rares légumes, il faut savoir que les Maldives doivent importer la grande majorité de leur denrée alimentaire, allant des fruits aux viandes en passant par les céréales, dont notamment le riz. Pour une escapade authentique, il est primordial de ne pas succomber à la tentation de ne gouter qu’aux plats qu’on connait de nom. Il est plus agréable de s’imprégner des saveurs des îles à travers les plats locaux, très souvent colorés.

     

  • La gastronomie des Maldives

    Un voyage aux Maldives sera assurément dépaysant puisque le cadre tropical exclusif de chaque île est bien souvent préservé du tourisme de masse. Au cœur de cet environnement paradisiaque, prenez le temps de gouter à la cuisine locale qui met en avant les produits de la mer. Comme il est quasiment impossible de rejoindre une île où vivent exclusivement les autochtones, à l’exception de Malé, profitez des plats locaux proposés par votre hôtel aux Maldives pour apprécier la saveur des îles.

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    Une gastronomie à base de riz et de poisson

    De par la relation intime que nouent les Maldiviens avec la mer, la gastronomie du pays est fortement marquée par les produits de la mer. Parmi les plats traditionnels les plus consommés aux Maldives figure le hikimas, du poisson séché typique de l’archipel, souvent accompagné de riz. On peut également citer le mas baiy qui est un succulent plat confectionné à base de riz, de lait de coco, d’épice et de poisson, habituellement du thon.

    Durant votre séjour aux Maldives, vous aurez peut-être le temps nécessaire pour vous adapter à la cuisine relevée qui caractérise le pays, mais au début de vos vacances, lorsque vous commandez un plat local, il est préférable de demander une version moins épicée, surtout si vous avez l’estomac fragile. Il serait dommage de subir des désagréments d’ordre digestif uniquement parce que le corps n’arrive pas à supporter les différentes épices.

  • Marvão, une ville fortifiée au Portugal

    marvao.JPGAu cours d’un séjour au Portugal, pourquoi ne pas partir à la découverte de la ville fortifiée de Marvão située à une douzaine de kilomètres de Quinta do Pomarinho ?

    Marvao appellé Nid d’Aigle en raison de sa situation perchée sur un sommet de la Serra Sao Mamede.
    Ses fortifications en granite font que cette ville fortifiée s’intègre comme un caméléon dans le décor rocheux qui l’entoure.

    On retient d’elle l’éclat blanc éblouissant de ses maisons qui pour se ressourcer constitue l’endroit idéal, sans compter la vue imprenable dont on jouit depuis les hauteurs. Pour profiter de toutes ces merveilles, pour le logement optez pour une location au Portugal ou pour une chambre dans un hôtel au Portugal, ce qui vous permettra d’apprécier pleinement la beauté de la nature à Marvão.

    Les activités ne manquent pas à Marvão, car cette citadelle médiévale offre bien des promenades agréables en son sein. Parmi elles, la visite au pied de Marvão du couvent de Nossa Senhora da Estrella, un couvent datant du 15e siècle. Sur place rendez-vous près des antas ou dolmen qui s’y dressent fièrement depuis 4000 av. J.-C. Pour terminer la visite de Marvão en beauté, dirigez-vous vers le sud où vous attendent le site d’Ammaia et son musée.

     

  • Le tourisme polaire : vers un imaginaire nordique

    De plus en plus de voyageurs se lancent dans l’aventure du Grand Nord. Un voyage fascinant, mais qui nécessite une organisation responsable pour ne pas perturber cet écosystème fragile.

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    Partir sur les traces du « Pourquoi pas », échanger avec des Inuits, respirer un air pur depuis des millénaires reste le rêve de plus en plus de touristes.

    Voyage au pays blanc

    De nombreux artistes, explorateurs ou encore de scientifiques s’aventurent sur les Pôles, à commencer par Robert Everest et jusqu’au début du XXe siècle. Les premiers « touristes polaires » débarquèrent sur la glace dans les années 20. Un célèbre croisiériste organisait les premières expéditions. De nos jours, plus qu’une aventure, c’est bien la fonte des glaces qui attire des « éco touristes » vers le nord. Le monde polaire n’existera bientôt plus. Lever les yeux vers cette blancheur incomparable n’a – par les temps qui courent – pas de prix.

    Les destinations les plus prisées restent l’Alaska, l’Islande, le nord du Canada, le Groenland, Svalbard, la Scandinavie septentrionale et la Russie. En général, les visiteurs rejoignent le désert blanc en avion, en voiture ou encore en bateau. Les croisières, plus faciles d’accès, remportent un franc succès. Avec un bon équipement et une condition physique adequat, les touristes peuvent s’aventurer sur des territoires naturels inviolés. Certains pratiquent également la chasse et la pêche, bien que la règlementation en la matière reste très contraignante.

    Yukon, en Alaska, est un petit morceau de terre où 50 % de ces habitants travaillent dans le secteur du tourisme. Ils accueillent des visiteurs curieux de venir observer la nature sauvage, de s’intéresser à l’histoire de la ruée vers l’or, de pratiquer la randonnée ou encore de connaître la culture indigène. Cette affluence perturbe-t-elle cet écosystème fragile ? Oui, la nature et les habitants des régions polaires ont, de tout temps, étaient gênés par les visiteurs qui ont dégradé ou pillé des monuments, par exemple. Les expéditions laissent parfois dans leurs sillages des déchets. En revanche, le tourisme polaire pourrait justement donner à ces populations les moyens de maîtriser les dérives et de protéger les sites. Reste à savoir si cela suffira à couvrir ces territoires immenses.

  • Découvrir Les chutes de Salto Angel - Venezuela

    chutes.jpgC’est la région de la Gran Sabana, au Venezuela, qui abrite les plus hautes chutes d’eau du monde (979 mètres de haut) : les chutes de Salto Angel. La rivière Canaïma, sous-affluent du fleuve Orénoque, se précipite du haut d’une montagne tabulaire (tepuy) bordée de falaises, avant de poursuivre son cours, 979 mètres plus bas et d’aller rejoindre la Laguna Canaima où se jettent les 7 chutes d'eau provenant du rio Carrao.


    Les chutes d’eau ont été nommées d’après l’aviateur américain, Jimmy Angel, qui les découvrit en essayant de poser son avion sur le plateau.


    Les impressionnantes chutes de Salto Angelo doivent leur charme à la promenade en bateau, en remontant le cours de la rivière afin de les atteindre, et à l’immense massif montagneux aux tons ocre se dressant au-dessus de la forêt tropicale.

  • Visiter Vienne, suite

    Une des nouvelles tendances dans le marché de l’hébergement de vacances est de louer
    un appartement de vacances pour des séjours courts . Celui-ci vous permet de vivre comme un viennois, de vous laisser beaucoup de liberté dans les horaires et d’économiser sur les frais de restauration. Ainsi certaines agences de location vous propose une gamme de plus de 260 appartements, dans toutes les parties de
    la ville. Ainsi, que vous cherchiez un beau loft au centre-ville ou un joli studio, vous trouverez
    ce qui conviendra à vos besoins et à votre budget.

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    La Vienna Card
    La Vienna Card est la carte qu’il vous faut lorsque vous vous rendez à Vienne. Elle permet
    de bénéficier d’un grand nombre de réductions, que ce soit sur les musées et les principales
    attractions de la ville, les théâtres et les concerts, quelques transferts aéroports ou certains
    magasins, cafés et restaurants. Au total, vous y trouverez plus de 210 rabais différents. Parmi
    les attractions inclues, on peut citer par exemple divers tours de ville, le musée Madame
    Tussauds, le village Hundertwasser, l’Albertina, le Belvédère, Hofburg ou Schönbrunn.

    Vous trouverez cette carte dans les centres d’informations touristique de l’Albertinaplatz, de
    l’aéroport, dans les points d’informations de Vienna Lines ou par téléphone au 43-1-798 44
    00-148. Elle coûte 19.90 euros.

  • Guide pratique pour visiter Vienne

    Vienne, au plein cœur de l’Europe, est une ville magique, qui vit au rythme du Danube et de
    la musique. Toujours hantée par les nombreux compositeurs qu’elle a vu naître – ou vivre
    – avec Mozart, Beethoven ou Schubert par exemple, la musique est ancrée dans la vie des
    viennois. Pour vous aider à entrer dans la danse, voilà un petit guide pratique pour visiter la
    capitale autrichienne.

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    Arrivée à Vienne
    L’aéroport de Wien-Schwechat se trouve à environ 16 kilomètres de Vienne. Il est l’aéroport
    international de la capitale autrichienne. Vous pourrez vous rendre au centre ville grâce au
    City Airport Train (11€, 16 minutes), au train (4€, 26 minutes) ou aux navettes aéroportuaires
    (8€, 20 minutes).

    A noter que de nombreuses compagnies aériennes low-cost proposent des vols jusqu’à
    Bratislava, à environ 50 km de Vienne. Pour vous rendre ensuite au centre-ville de Vienne,
    vous pourrez prendre le train ou le bus.

    Si vous arrivez à Vienne en train, depuis l’Autriche, l’Allemagne, la Suisse ou la Hongrie,
    vous arriverez probablement à la Westbahnhof, au centre de la ville.

    Se loger à Vienne
    En tant que ville touristique, l’offre hôtelière à Vienne est très développée. Pour disposer
    d’un large choix d’hôtels, ainsi que d’auberges de jeunesse et de campings, vous pouvez vous
    rendre directement sur le site internet de l’Office du Tourisme de Vienne.